
Quatre ans après "Au revoir là-haut" (prix
Goncourt 2013), revoici Madeleine Péricourt, Edouard, Henry Pradelle, etc…
L’histoire débute lors des obsèques du richissime banquier
Marcel Pericourt, le père de Madeleine Péricourt (la sœur d’Edouard, et
ex-femme d’Henry d’Aulnay-Pradelle, qui est mort).
Depuis qu'elle a divorcé de Pradelle (condamné et mis en
prison dans l'affaire des cimetières militaires frauduleux), Madeleine élève
dans l'hôtel particulier familial son fils unique Paul, avec l'aide de Léonce (sa ravissante dame de compagnie), et André (son précepteur, qui est aussi son
amant).
Alors que le tout Paris assiste aux funérailles du patriarche, le petit Paul se jette dans le vide. Avec la mort de Marcel Péricourt, et les incompétences répétées de son frère Charles, Madeleine se voit hériter de l'empire financier. Mais elle ne se sent pas avoir les compétences pour assurer la succession et laisse donc Gustave Joubert, le soin de prendre les rênes de la banque.
Paul ne peut plus marcher et Madeleine ne sait comment lui redonner le sourire. Avec l'arrivée de Vladi, sa nouvelle nounou, une polonaise ne parlant pas un mot de français, Paul retrouve aussi le goût de vivre.
Alors que le tout Paris assiste aux funérailles du patriarche, le petit Paul se jette dans le vide. Avec la mort de Marcel Péricourt, et les incompétences répétées de son frère Charles, Madeleine se voit hériter de l'empire financier. Mais elle ne se sent pas avoir les compétences pour assurer la succession et laisse donc Gustave Joubert, le soin de prendre les rênes de la banque.
Paul ne peut plus marcher et Madeleine ne sait comment lui redonner le sourire. Avec l'arrivée de Vladi, sa nouvelle nounou, une polonaise ne parlant pas un mot de français, Paul retrouve aussi le goût de vivre.
Pendant ce temps, les
affaires tournent très mal et Madeleine se voit dans l'obligation de vendre sa
maison…
Bien que ce roman compte plus de 550 pages, il est agréable
à lire et se lit très rapidement.
Reste maintenant à attendre le 3e tome de cette
trilogie.
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