
Marcus Conway, est irlandais installé et natif du comté de Mayo sur la côte occidentale de l’Irlande.
Il n'y a aucun point du début à la fin du livre. 300 pages d'une seule et unique phrase. Une réflexion sur la vie qui fait 300 pages.
Marcus est marié à Mairead, une pollution de l’eau provoque une grave intoxication chez Mairead et bon nombre d’habitants de Louisburgh, et c'est à ce moment que Marcus prend conscience de la fragilité de la vie.
C'est comme si on était dans la tête de Marcus qui nous parle de son père, de son travail; de ses enfants, de sa femme malade.
Les enfants sont partis vivre leur vie.
Agnès, la fille aînée, monte sa première exposition, des oeuvres avec son propre sang, ce qui angoisse Marcus.
Darragh, le fils, parcourt le monde, il est en Australie. Ce garçon bohème qui ressemble de plus en plus à un homme des bois et communique par skype.
Marcus est un citoyen qui ne rate jamais les informations à la radio ni la lecture des journaux. Il est ingénieur, confronté aux manigances politiques au détriment de la sécurité.
La lecture est exténuante, on a l'impression de lire en apnée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à donner votre avis