vendredi 16 octobre 2015

Les piliers de la terre - Ken Follet

Les Piliers de la terre par Follett

L'histoire se passe en Angleterre en 11… durant la construction de la cathédrale de Kingsbridge, dirigée par le prieur Philip.
Tom est maçon,  pauvre et cherche du travail pour faire vivre sa famille. Sa femme enceinte, va accoucher au milieu de la forêt, en automne ou hiver (je ne sais plus) et va décéder. Ne sachant comment élever cet enfant, Tom abandonnera l’enfant sur le tombeau de sa femme. Celui-ci sera finalement recueilli et adopté par le monastère de Kingsbridge.
Veuf, Tom est rapidement attiré par Ellen, un peu sorcière et mère célibataire de Jack (cheveux roux et yeux bleus).
La recherche de travail va amener Tom et sa famille, vers le petit village de Kingsbridge où il sera embauché par Philip comme bâtisseur pour la construction de la cathédrale de Kingsbridge.
Plus tard, Tom fera de Jack son apprenti. Jack révèlera d’immenses talents de sculpteurs.
Les années de construction sont rythmées par la guerre, le manque de finances, les « magouilles » religieuses et politiques de l’époque.  

Pour ma part, beaucoup de longueurs, beaucoup de violence (les guerres rythment la vie de l’époque), beaucoup de « débauche » également (est ce le terme ?).  
Beaucoup de détails architecturaux, de vocabulaires architecturaux de cathédrales, qui ne m'étaient absolument pas connus, qui ont du nécessiter un énorme travail de recherche. Depuis, je ne vois plus la cathédrale de Strasbourg de la même façon. Je suis plus attentive aux détails surtout aux sculptures (les gargouilles me font penser à Jack)
Je n’avais qu’une envie avancer, savoir ce qui arrive aux personnages mais 1050 pages, c’est long, très long. Quelques longues heures de lecture.
Mais c’est un très beau livre et j’avoue que l’on se sent un peu perdu en le refermant, après avoir passé tellement de temps avec lui.   Mais soulagée d’avoir réussi à le finir. 

1 commentaire:

  1. Livre lu il y a plus d'une dizaine d'année mais encore très présent. On apprend beaucoup de choses sur la vie quotidienne de la population de cette époque, quel que soit le niveau social.
    La phrase principale se trouve avant même le prologue dans le texte d' A.L. Poole: "Il n’y eut qu'un survivant" en évoquant le naufrage d'un vaisseau avec à son bord l'unique fils du Roi. Toute l'histoire en sera influencée.
    Si ce livre est un pavé, que dire de la suite "Un monde sans fin" avec ses 1337 pages en version poche.

    JA

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